Il s’agit d’« une réponse à l’urgence provoquée par l’aggravation du chômage de masse ». Mais pour la CFDT, loin d’être une fin en soi, « ces contrats doivent aller de pair avec un accompagnement personnalisé et des formations pour permettre une intégration durable vers l’emploi ».
Tout en précisant que pour la CFDT, « ces contrats aidés doivent être une aide à l’insertion professionnelle durable. Il est nécessaire de les réserver aux chômeurs de longue durée et aux allocataires du RSA », Laurent Berger se déclare « satisfait de l’allongement de la durée maximum de ces contrats, qui passe de six à neuf mois. Ce qui permet une meilleure intégration dans le monde du travail ».
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